L'année 2023 a établi un nouveau record de déploiement des énergies renouvelables, mais à un rythme « loin de l'objectif de tripler » cette production « d'ici 2030 », cible fixée par la COP28 à Dubaï, selon un rapport de l'Agence pour les énergies renouvelables (Irena) publié mercredi.
Représentant désormais « une capacité totale de 3.870 gigawatts (GW) dans le monde », les énergies renouvelables ont représenté « 86% des ajouts de capacité » électrique dans le monde, selon l'Agence.
Elle déplore néanmoins une croissance « inégalement répartie" à travers le monde, "ce qui indique une tendance loin de l'objectif de tripler les énergies renouvelables d'ici 2030 ».
Un euphémisme : avec 297 GW de capacités supplémentaires, la Chine a représenté à elle seule près des deux tiers de la progression mondiale des énergies renouvelables (69% pour l'Asie dans son ensemble).
« Cela reflète un fossé flagrant avec d'autres régions, laissant une grande majorité de pays en développement à la traîne, malgré des besoins économiques et de développement massifs », déplorent les auteurs du rapport.
« La progression n'est pas assez rapide » pour ajouter les 7.200 GW requis au cours des sept prochaines années pour suivre le scénario de l'Irena pour être aligné sur l'objectif de limiter à 1,5°C le réchauffement climatique, a déploré son directeur général Francesco La Camera, cité dans le rapport.
Il a estimé qu'il était « urgent d'intervenir et de corriger le tir à l'échelle mondiale », notamment dans les économies émergentes et en développement, « dont beaucoup sont encore laissées pour compte dans ces progrès ».
L'Afrique a ainsi vu ses capacités d'énergies renouvelables progresser de 4,6% en 2023, contre 16,6% pour le Moyen-Orient, et près de 10% pour le continent européen et l'Océanie.
S'agissant des types d'énergies, la progression a été tirée majoritairement par le solaire (+345,5 GW).
« La voie vers un triplement de la capacité d'énergies renouvelables d'ici 2030 nécessite un renforcement des institutions, des politiques et des compétences », conclut l'Irena.
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La tendance des nouvelles installations de stockage d'énergie solaire se poursuit à la hausse en 2023. Alors qu'en 2022, l'association allemande de l'industrie solaire annonçait déjà environ 214 000 nouveaux accumulateurs domestiques et 3 900 nouveaux accumulateurs professionnels en Allemagne, ces chiffres ont encore été largement dépassés en 2023. Parmi les marchés leaders, on trouve actuellement l'Italie.
Le salon professionnel des batteries et systèmes de stockage d'énergie le plus grand d'Europe, ees Europe, se tiendra à Munich du 19 au 21 juin 2024 et donnera un aperçu complet du marché.
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De Gaulle Fleurance a conseillé GreenYellow, via son entité Reservoir Sun dans le cadre de la plus grande opération de financement pour l’autoconsommation solaire en France. Une sacrée référence !
De Gaulle Fleurance a accompagné GreenYellow, via son entité Reservoir Sun, en sa qualité d’emprunteur dans le cadre d’une opération de financement historique en partenariat avec Bpifrance, la Caisse d’Epargne Ile-de-France et la Caisse d’Epargne CEPAC. Cette initiative vise à financer le développement et la construction de 92 centrales solaires photovoltaïques en France, représentant une capacité totale de 73 MWc. Cette opération montre l’attrait des entreprises et des banques pour le solaire décentralisé, avec 70% des projets axés sur l’autoconsommation.
68% des centrales seront situées dans la moitié Nord de l’hexagone. C’est un signe fort qui indique que l’autoconsommation n’est plus seulement une question d’ensoleillement mais est de plus en plus liée aux prix de l’électricité. 70% seront installées en ombrières solaires, en réponse à l’obligation de solarisation des parkings dans le secteur de la grande distribution et des grandes entreprises, conformément à la loi sur les Énergies Renouvelables. 75% concernent des Grandes Entreprises du Commerce et de l’industrie.
Cette opération, pour un montant total de plus de 73 millions d’euros, s’inscrit dans la continuité de quatre financements majeurs sur les trois dernières années réalisées par Reservoir Sun, avant son acquisition à 100% par GreenYellow fin 2023.
Reservoir Sun by GreenYellow était conseillé par De Gaulle Fleurance (Sylvie Perrin, avocate associée, Vahan Guevorkian, avocat senior, et Pierre Bouijoux, avocat). « Nous sommes honorés d’avoir contribué à ce projet historique et prometteur en faveur de la transition écologique »,Haut du formulaire explique Sylvie Perrin, avocate associée chez De Gaulle Fleurance. « L’autoconsommation est une solution de plus en plus prisée par les entreprises qui souhaitent décarboner leurs activités et maitriser leurs dépenses énergétiques ».
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Dans de nombreux territoires, les projets de parcs photovoltaïques au sol sont attaqués en justice par les associations. Le 26 mars dernier, le tribunal administratif de Montpellier a ainsi sérieusement rappelé à l’ordre le porteur de projet Neoen et l’État qui lui a accordé une dérogation au droit des espèces protégées dans un secteur à fort enjeu environnemental sans avoir respecté l’indispensable et préalable démarche d’évitement des impacts. Explications !
Le plateau de l’Arnet, à Lézignan-la-Cèbe, est redevenu une zone naturelle après la fin de son exploitation minière. La zone du « plateau sud » a fait l’objet d’une réhabilitation par le Conservatoire des Espaces Naturels d’Occitanie, qui lui a redonné sa vocation d’espace naturel abritant une riche biodiversité. La société Neoen a identifié, à tort, cet espace comme une zone dégradée qui serait propice à l’installation d’un parc photovoltaïque. Les autorités et instances consultées n’avaient pas manqué d’alerter la société sur ce choix problématique.
Annulation de la dérogation
FEN Occitanie Méditerranée, Fédération régionale des associations de protection de la nature et de l’environnement, avait ensuite rappelé à Neoen, lors de la consultation publique que « les enjeux écologiques du site auraient dû être rédhibitoires » et que « tout le monde y perd son temps, son énergie et son argent ». L’alerte de FNE Ocmed se voit donc confirmée pour cette entreprise qui a fléché des investissements sur un site non propice à l’installation d’un parc photovoltaïque. Malgré cela, l’autorité administrative a accordé à la société Neoen une dérogation au droit des espèces protégées. Au regard de son illégalité manifeste, FNE Ocmed n’a pas eu d’autres choix que d’en demander l’annulation. Sans surprise, le tribunal administratif donne raison à l’association et annule la dérogation, en constatant notamment que « l’absence d’autre solution satisfaisante moins impactante est impossible à justifier dans de tels milieux ayant fait l’objet d’une renaturation et comportant des enjeux écologiques modérés à localement fort ».
« Une planification du déploiement de ces énergies est nécessaire »
FNE Ocmed regrette d’avoir été obligée de saisir le juge administratif pour faire confirmer que dès le départ, de toute évidence, ce projet de parc photovoltaïque ne pouvait pas être réalisé sur ce site à enjeux écologiques forts.
Pour Simon Popy, président de FNE Ocmed : « Le développement des énergies renouvelables ne peut se targuer d’être écologique s’il se fait au détriment de la protection de la biodiversité et de milieux naturels qui ont été restaurés à cette fin. Il est regrettable de constater qu’aujourd’hui, le développement du photovoltaïque au sol se fait de manière anarchique, sans doctrine claire de l’Etat, le droit des espèces protégées et les contentieux des associations étant le seul filtre. Une planification du déploiement de ces énergies est nécessaire pour les limiter aux sites sans enjeux environnementaux, la priorité étant d’équiper les sites déjà artificialisés tels que les parkings ou les toitures, ou les sites réellement dégradés. »
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Le monde brûle sous des chaleurs intenses et les émissions de gaz à effet de serre demeurent à des niveaux beaucoup trop élevés encore. L’électrification à la rescousse ! L’autoconsommation et les véhicules électriques comme leviers pour assurer la transition vers une énergie décarbonée et renouvelable.
Le cabinet de recherche et de conseil LCP Delta spécialisé dans la transition énergétique, fait le point sur les prévisions de cette année 2024 et les avancées sur la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE 2024-2033), qui doit être adoptée au 1er semestre 2024. Cette feuille de route doit être compatible avec la loi relative à l’énergie et au climat (LPEC) afin de fixer les grands objectifs de la stratégie nationale bas-carbone.
Un intérêt continu pour les technologies solaires et les PAC
Alors que le pays avance vers une transition énergétique plus robuste, le paysage de l’énergie se recentre graduellement sur la gestion énergétique plutôt que sur la simple fourniture de produits traditionnels. Cependant, cette transition comporte des implications significatives. Il est crucial, par exemple, de veiller à ce que les consommateurs les plus vulnérables ne soient pas laissés pour compte alors que les fournisseurs et les clients explorent de nouvelles façons innovantes de partager les risques du marché.“De plus, l’année 2023 a été marquée par un engouement et une forte demande suite au Covid-19 et à la crise du supply chain, en particulier pour les panneaux photovoltaïques et les pompes à chaleur. Toutefois, bien que ces chiffres devraient baisser en 2024, ils resteront à des niveaux relativement élevés, reflétant une stabilisation après l’expansion de l’année précédente et soulignant l’intérêt continu pour ces technologies malgré les fluctuations du marché” commente George Husni, Head of Business Development Western Europe du cabinet LCP Delta.
La mobilité propre en croissance : les VE du marché français du neuf pourrait passer de 26 % à 31 % d’ici fin 2024
La PPE soutient l’installation de bornes de recharge électrique et de stations de gaz GNV afin de promouvoir la croissance du marché des véhicules électriques à faibles émissions. Pour le cabinet LCP Delta ce marché va évoluer positivement cette année. Le programme de financement Advenir a été prolongé de 200 millions d’euros supplémentaires et devrait durer jusqu’en 2025. Le cabinet anticipe que l’installation de points de charge tant dans le secteur privé que public connaîtra une croissance saine. Ventes prévues en 2024 : 260 000 pour les maisons privées et 40 000 pour le public. La plus grande croissance proviendra des points de charge installés dans les maisons unifamiliales, mais nous nous attendons à ce que les installations dans les habitations multifamiliales décollent enfin, ainsi que le stationnement sur rue. Les municipalités devront fournir des points de charge pour les propriétaires de VE qui n’ont pas accès à un parking dédié « à la demande ». Le gouvernement français a également réduit le bonus écologique pour VE de 5 000 € à 4 000 € pour les particuliers et a renforcé les critères d’éligibilité pour les véhicules. Cependant, cela ne ralentit pas la croissance des VE. Les VE représentaient déjà 26 % du marché français du neuf en 2023, et cela augmenterait à 31 % d’ici fin 2024.
L’autoconsommation dans le marché solaire en croissance modeste
La PPE prévoit d’ici 2050 de multiplier par 10 la production d’électricité solaire, de déployer 50 parcs éoliens en mer et de doubler la production éolienne terrestre et d’encourager l’autoconsommation photovoltaïque individuelle afin de réduire la dépendance énergétique. Pour le cabinet LCP Delta, ce marché souffrira des changements en 2024. Sur le marché commercial et industriel, une diminution des installations en 2024 par rapport à 2023 est prévue, en raison de l’augmentation des taux d’intérêt. La diminution attendue est de 2,4 MW installés à 2,1 MW, mais cela devrait se retourner dans les années suivantes alors que les moteurs du solaire continuent de croître. Notamment, la Loi sur l’Accélération des Énergies Renouvelables a apporté une définition plus claire à l’agrivoltaïque, même si l’on est toujours en attente du décret. Elle a aussi renforcé les obligations de solarisation pour les bâtiments commerciaux et industriels. Dans le secteur résidentiel, le marché du PV solaire a connu une croissance massive en 2023, passant de 88 000 installations de systèmes annuelles à presque 180 000. Pour 2024, il est prévu des chiffres similaires à 2023, avec une croissance modeste alimentée par l’intérêt pour l’autoconsommation.
Avancées de l’efficacité énergétique et de la consommation d’énergie primaire
L’efficacité énergétique et la rénovation des bâtiments sont très importantes pour la transition énergétique. La création du service public d’accompagnement France Rénov’ en 2022, la Réglementation environnementale 2020 qui guide la construction de bâtiments à énergie positive et la publication en 2019 du décret tertiaire, imposent un vrai changement. Les changements apportés à MaPrimeRenov stimuleront les ventes de toutes les pompes à chaleur pour la rénovation en 2024. Alors que la subvention augmentera pour l’installation de pompes à chaleur hydrauliques (+ 1 000 €), les pompes à chaleur air-air seront, pour la première fois, incluses dans le programme lorsqu’elles sont installées dans le cadre de rénovations à grande échelle pour améliorer le confort estival. Le cabinet LCP Delta prévoit une accélération de la tendance à l’installation de systèmes multi-splits pour remplacer le chauffage électrique direct.
Les opportunités de propositions de rénovation complète des maisons émergent en 2024, alors que la France se concentre sur la rénovation des bâtiments résidentiels les plus inefficaces avec un fort soutien financier. La France s’est fixée pour objectif de financer 200 000 projets de rénovation à grande échelle en 2024. Les niveaux de stock de pompes à chaleur se stabiliseront et reviendront à la normale en 2024. L’année 2023 a été marquée par des niveaux élevés de stock de pompes à chaleur dans le canal de gros, liés au ralentissement de la demande au premier semestre 2023. Cela a également conduit à une certaine baisse des prix pour réduire les niveaux de stock.
George Husni, Head of Business Development Western Europe du cabinet LCP Delta
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Le secteur du transport fait face à des pressions croissantes pour réduire son empreinte carbone et trouver des alternatives durables aux carburants fossiles. Dans ce contexte, l’énergie solaire photovoltaïque offre des solutions prometteuses pour contribuer tout ou partie à l’énergie nécessaire aux véhicules et aux infrastructures de transport.
S’appuyant sur les réseaux et les compétences du consortium du Projet T-IPV, les pôles de compétitivité CARA (solutions de mobilité) et Capenergies (solutions énergies bas carbone) organisent le 9 avril prochain un évènement unique pour accélérer l’intégration du photovoltaïque dans le secteur du transport.
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COMSOL, éditeur du logiciel de simulation COMSOL Multiphysics®, organise le 18 avril une journée dédiée aux énergies renouvelables. Un nouvel outil pour gagner en temps et en efficacité !
La demande énergétique mondiale, l’amplification du réchauffement climatique ou encore l’épuisement des ressources naturelles pousse l’industrie à développer de nouvelles solutions pour continuer de répondre aux sollicitations du marché tout en limitant ses émissions de GES. Dans ce contexte, le déploiement de technologies innovantes et la transition vers des sources d’énergie renouvelables sont devenues indispensables pour parvenir à un mode de production plus durable.
Un environnement de simulation unifié
Pour atteindre cet objectif, l’industrie peut compter sur des outils incontournables de R&D : la modélisation et la simulation multiphysique. En effet, les organisations qui travaillent sur les composants utilisés pour l’énergie solaire, l’énergie éolienne, le stockage de l’énergie et les réseaux électriques s’appuient de plus en plus sur la modélisation et la simulation pour l’analyse et l’optimisation des systèmes tels que les moteurs électriques, les générateurs, les batteries, les piles à combustible, les électrolyseurs et les câbles.
Le logiciel COMSOL Multiphysics® se prête particulièrement bien à la R&D dans le domaine des énergies renouvelables, car il offre un environnement de simulation unifié permettant d’intégrer facilement les aspects thermiques, électriques, mécaniques et fluidiques dans un seul et même modèle. En outre, le logiciel permet de créer des applications de simulation autonomes et d’organiser les projets de simulation de manière centralisée, ce qui favorise la collaboration et accélère l’innovation.
Découvrir comment la simulation multiphysique peut rendre la conception et la R&D plus efficaces
Le COMSOL Day « Renewable Energy » est l’occasion de découvrir comment la simulation multiphysique peut rendre la conception et la R&D plus efficaces dans le domaine des énergies renouvelables. Cet événement comprendra des présentations utilisateurs ainsi que des sessions COMSOL interactives sur des sujets tels que les moteurs et générateurs électriques, les applications de simulation et les jumeaux numériques, la gestion thermique des machines électriques, les piles à hydrogène et les électrolyseurs, la conception de câbles et l’électronique de puissance ou encore le dimensionnement des batteries pour le stockage de l’énergie et le secteur automobile.
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EDP fournira jusqu’à 21 MWc de capacité solaire sur six marchés pour contribuer aux ambitieux objectifs européens de durabilité de DECATHLON. Les contrats signés en France et en Allemagne représentent une nouvelle étape importante dans l’accélération de l’activité commerciale d’EDP sur des marchés plus récemment investis par le groupe. Ce partenariat vient consolider sa position en tant qu’un des plus grands acteurs du solaire décentralisé en Europe.
EDP, développeur majeur de solaire décentralisé en Europe, a été sélectionné par DECATHLON pour installer jusqu’à 80 centrales solaires dans les installations de l’entreprise dans six pays européens. Jusqu’à 42 000 panneaux solaires seront installés sur les toits, les ombrières et d’autres emplacements du détaillant, atteignant une capacité installée de plus de 21 MWc. Cette initiative significative accélère l’objectif de DECATHLON de produire et de consommer de l’énergie solaire, rapprochant l’entreprise de son engagement ambitieux d’utiliser uniquement de l’énergie renouvelable pour les magasins DECATHLON dans le monde entier d’ici 2026.
Couvrir jusqu’à 50% des besoins de consommation des sites
Dans les prochains mois, EDP commencera à installer des centrales dans des dizaines de sites DECATHLON en France et en Allemagne, renforçant l’expansion de la division solaire décentralisée d’EDP dans ces deux pays, où l’entreprise est déjà présente grâce à la production renouvelable à grande échelle avec EDP Renewables. En France, les projets sont déjà en phase de développement, avec des plans pour installer en moyenne 1 000 panneaux solaires dans les magasins à Avignon, Reims, Cormontreuil et d’autres emplacements à travers le pays. Au fur et à mesure de l’avancement des projets, ils contribueront à couvrir jusqu’à 50% des besoins de consommation des sites où l’équipement sera installé. “Être choisi par un partenaire comme DECATHLON pour cette collaboration est une étape significative pour EDP. Notre engagement à fournir des projets solaires internationaux à des clients globaux souligne notre engagement sur l’innovation et les solutions énergétiques durables dans le monde entier. Ce partenariat est un témoignage de l’expertise et des efforts collaboratifs de nos équipes européennes, unies dans la poursuite d’un objectif commun : faire progresser l’énergie renouvelable à l’échelle mondiale”, déclare Vera Pinto Pereira, membre du conseil d’administration d’EDP qui dirige son activité solaire décentralisée dans le monde entier.
Terminer plus de 80 centrales solaires d’ici la fin de 2026
Ce partenariat comprend des centrales de production décentralisées au Portugal, où la plupart des projets sont déjà installés et opérationnels, ainsi qu’en Espagne, en Belgique et en Italie, avec également des installations solaires en cours de développement dans les prochains mois. L’objectif est de terminer plus de 80 centrales solaires d’ici la fin de 2026. Avec cette collaboration, EDP renforce son rôle de partenaire clé des grandes entreprises multinationales en fournissant simultanément des solutions solaires sur mesure adaptées à la taille et aux caractéristiques de chaque bâtiment DECATHLON. “L’objectif de DECATHLON est d’atteindre 100% d’électricité renouvelable d’ici 2026 sur ses sites immobiliers. Pour ce faire, nous privilégions l’énergie solaire et visons à déployer des centrales solaires sur nos sites chaque fois que possible. EDP a été le gagnant d’une compétition régionale acharnée pour des projets sur site en Europe en 2022, et depuis lors, nous avons signé des contrats avec DECATHLON et installé des panneaux photovoltaïques sur nombre de nos sites. C’est une étape importante vers l’amélioration de notre bilan énergétique en matière d’énergies renouvelables et pour la réduction des émissions de CO2.”, déclare Jean-Philippe Garraux, leader de l’immobilier et du développement international de DECATHLON.
Eviter l’émission d’environ cinq mille tonnes de CO2 par an
Ensemble, ces centrales pourraient produire jusqu’à 21 MWh par an, suffisamment d’énergie pour alimenter quatre mille foyers en énergie renouvelable. En installant ces centrales solaires, DECATHLON et EDP contribuent à éviter l’émission d’environ cinq mille tonnes de CO2 par an, qui seraient émises si la même quantité d’électricité était produite dans ces pays à partir de sources non renouvelables, équivalent à la conduite de 1 200 voitures à essence Avec plus d’une décennie d’expérience et des opérations de génération solaire distribuée sur 4 continents, ce segment d’activité opère la croissance la plus rapide d’EDP et devrait représenter environ 50% de la nouvelle capacité solaire à l’échelle mondiale dans les prochaines années. Le groupe s’est engagé à investir 2,5 milliards d’euros d’ici 2026 pour installer 4 GWc supplémentaires de projets solaires pour les ménages et les entreprises, contribuant ainsi de manière décisive à la transition énergétique.
Les sources d’électricité renouvelable, une action clé pour décarboner l’empreinte de DECATHLON
L’objectif de DECATHLON d’ici 2026 est de réduire ses émissions absolues de CO2 de 20%, sur la base des émissions mesurées en 2021. Pour atteindre cette ambition, DECATHLON a mis en œuvre trois actions principales : décarboner son empreinte carbone, concevoir ses produits avec un impact réduit, et développer des modèles d’affaires circulaires. Les sources d’électricité renouvelable sont l’une des actions clés pour décarboner l’empreinte de DECATHLON, c’est pourquoi, DECATHLON s’est engagé de manière ambitieuse à utiliser des sources d’énergie renouvelable dans 100% de ses magasins d’ici 2026.
]]>TECSOL organise, tous les mois, des formations en ligne ou en présentiel consacrées à l’énergie solaire. La prochaine session en ligne aura lieu du 8 au 15 avril 2024. Nous vous conseillons de vous inscrire, sans attendre, car le nombre de places est limité, pour permettre aux stagiaires d’échanger avec les formateurs.
La formation se déroule sur 6 jours à raison de 3 heures de cours par jour (2 séances de 1,5 h tous les matins) et vous permettra de couvrir l'ensemble des techniques utilisées en photovoltaïque. Le programme complet de la formation peut être consulté en cliquant ici.
Il est à noter que les frais pédagogiques (1130 euros HT) peuvent être pris en charge, par différents dispositifs de soutien à la formation professionnelle.
Pour plus de renseignements vous pouvez également contactez Muriel chez Tecsol au 04 68 68 16 50 et formation@tecsol.fr
Tecsol est très fière d'annoncer que ses formations, à distance ou en présentiel, ont reçu la certification «Qualiopi» délivrée par l'AFNOR. Ce signe officiel de qualité vient confirmer la reconnaissance largement partagée par nos anciens stagiaires. Pour télécharger le certificat de qualification cliquez ici
]]>Les ingénieurs de TECSOL consacreront une séance de formation exceptionnelle aux « ombrières photovoltaïques ». Elle aura lieu en ligne le 28 mars prochain. Celle-ci est programmée au moment où les pouvoirs publics viennent de rendre obligatoire l’équipement des parkings existants.
Pour vous permettre d’avoir une vision complète des nouveaux enjeux (techniques, financiers, juridiques), la formation est décomposée en deux périodes selon le programme ci-dessous.
Le prix de la formation est fixé à 209 € HT, payable par Carte Bancaire. Une facture acquittée vous sera alors adressée.
Si vous souhaitez payer par virement, CHORUS, OPCO ou chèque, merci de nous contacter à l'adresse suivante: formation@tecsol.fr
Le matin de 9h30 à 12h00 - Aspects techniques et économiques
• Présentation simplifiée du marché photovoltaïque et des principales tendances, les facteurs de développement des ombrières PV
• En co-intervention avec le BET Structure ALBYR : les aspects constructifs, normatifs, structure primaire, fondations, règles.
• Ordres de grandeur techniques, matériels, puissances surfaciques, durée de vie, poids, montage ombrières, modules, câblages, onduleurs, couplage avec les bornes de recharge.
• Modes de valorisation (vente totale, autoconsommation individuelle, autoconsommation collective, PPA…), tarifs d’achat
• CAPEX, OPEX, ratios financiers
• Les étapes d’un projet de création d’ombrières de parking PV (autorisation, géotechnique, VRD, électriques, assurances…)
• Retours d’expérience
L’après-midi - 14h00 à 16h30 – Réglementation et Zoom sur des offres de marché